On travaille trop!
Nous avons été des génération à nous épuiser, physiquement, en augmentant la quantité par le temps, plutôt que la quantité par la performance.
Nous avons un énorme intérêt à nous pencher sur la mise en pratique des méthodes "de compétitions" au travail...
ATTENTION il ne s'agit pas là de la compétitivité avec son corrolaire de pression et d'excès, c'est la "mauvaise face" de la compétition,
mais du dosage de la quantité et qualité d'effort de sorte à avoir à la moindre charge le meilleur résultat et la moindre pénibilité d'effort.
Nous pouvons noter que la durée "efficace" entraînante est entre 5 et 20% du temps total de vie.
et l'intensité efficace entre 60 et 80% du métabolisme maximal (qui demande la fréquence cardiaque maximale).
cette notion de se tenir au 3/4 de ce qui est épuisant est aussi valable pour les taches mentales et la cordination.
c'est cette cadence là qui apporte le plus de progrès.
la zone "cible" qui permet de pratiquement DOUBLER par l'entraînement la performance (à effort relatif égal) est entre 60 et 80%, cela généralement (sur le système cardio-vasculaire) mais aussi localement (sur la rapidité du geste ou sa force en %tage de l'épuisant sur une durée de l'ordre de l'heure)
On retrouve même cette zone cible dans le mental... Si on veut en effet progresser en décodage de la télégraphie, il faut écouter entre 60 et 80% de la vitesse maximale de décodage... pour progresser. Trop lent on ne progresse pas même en y restant longtemps, et on travaillerait longtemps à décoder des messages on resterait peu efficace, trop rapide on décroche par épuisement avant d'avoir eu le temps de progresser, et on ne peut pas augmenter donc de beaucoup la vitesse de décodage!
de ce fait un préposé des postes télégraphes reste vers 8 mots par minute, alors que des radio amateurs libres de choisir leur cadence et pouvant donc progresser dépasse les 30 mots/minute.
(si on pratique entre 80 et 100% on ne gagne que le chouya qui fait la différence sur de l'exceptionnel, sur le plan physique, et cela ne doit pas être fait n'importe comment. Dans le monde du travail on demande cette cadence continuellement et tous les jours)
respecter à la fois entre 60 et 80% du max (on peut dire les 3 quarts) et une durée qui n'excède pas le 5 eim du temps total
permet la sollicitation SUFFISANTE pour provoquer l'adaptation à l'effort, mais non excessive, et laisser le temps de repos permettant de se "construire".
Le travail physique pouvant durer 8h par jour (par exemple du travail en chaîne avec répétition de mouvements) est néfaste à la santé.
il dépasse en effet LARGEMENT 30% du temps total en sollicitation...
même si cette sollicitation est locale (donc troubles divers et maladies professionnelles) on sort de l'optimum de rendement...
Soit on diminue la charge physique... de ce fait on sort de la zone cible par le bas... et on ne gagne pas en performance
Soit on conserve la charge physique et on s'épuise rapidement.
On en ferait plus, et mieux ou au moins AUTANT en organisant les tâches physiques et répétitives sur un maximum de 25 h par semaine: en effet, la performance pouvant alors être double, en raison d'une meilleure adaptation, la même quantité de travail serait produite qu'en 40h.
Nous avons été des génération à nous épuiser, physiquement, en augmentant la quantité par le temps, plutôt que la quantité par la performance.
Nous avons un énorme intérêt à nous pencher sur la mise en pratique des méthodes "de compétitions" au travail...
ATTENTION il ne s'agit pas là de la compétitivité avec son corrolaire de pression et d'excès, c'est la "mauvaise face" de la compétition,
mais du dosage de la quantité et qualité d'effort de sorte à avoir à la moindre charge le meilleur résultat et la moindre pénibilité d'effort.
Nous pouvons noter que la durée "efficace" entraînante est entre 5 et 20% du temps total de vie.
et l'intensité efficace entre 60 et 80% du métabolisme maximal (qui demande la fréquence cardiaque maximale).
cette notion de se tenir au 3/4 de ce qui est épuisant est aussi valable pour les taches mentales et la cordination.
c'est cette cadence là qui apporte le plus de progrès.
la zone "cible" qui permet de pratiquement DOUBLER par l'entraînement la performance (à effort relatif égal) est entre 60 et 80%, cela généralement (sur le système cardio-vasculaire) mais aussi localement (sur la rapidité du geste ou sa force en %tage de l'épuisant sur une durée de l'ordre de l'heure)
On retrouve même cette zone cible dans le mental... Si on veut en effet progresser en décodage de la télégraphie, il faut écouter entre 60 et 80% de la vitesse maximale de décodage... pour progresser. Trop lent on ne progresse pas même en y restant longtemps, et on travaillerait longtemps à décoder des messages on resterait peu efficace, trop rapide on décroche par épuisement avant d'avoir eu le temps de progresser, et on ne peut pas augmenter donc de beaucoup la vitesse de décodage!
de ce fait un préposé des postes télégraphes reste vers 8 mots par minute, alors que des radio amateurs libres de choisir leur cadence et pouvant donc progresser dépasse les 30 mots/minute.
(si on pratique entre 80 et 100% on ne gagne que le chouya qui fait la différence sur de l'exceptionnel, sur le plan physique, et cela ne doit pas être fait n'importe comment. Dans le monde du travail on demande cette cadence continuellement et tous les jours)
respecter à la fois entre 60 et 80% du max (on peut dire les 3 quarts) et une durée qui n'excède pas le 5 eim du temps total
permet la sollicitation SUFFISANTE pour provoquer l'adaptation à l'effort, mais non excessive, et laisser le temps de repos permettant de se "construire".
Le travail physique pouvant durer 8h par jour (par exemple du travail en chaîne avec répétition de mouvements) est néfaste à la santé.
il dépasse en effet LARGEMENT 30% du temps total en sollicitation...
même si cette sollicitation est locale (donc troubles divers et maladies professionnelles) on sort de l'optimum de rendement...
Soit on diminue la charge physique... de ce fait on sort de la zone cible par le bas... et on ne gagne pas en performance
Soit on conserve la charge physique et on s'épuise rapidement.
On en ferait plus, et mieux ou au moins AUTANT en organisant les tâches physiques et répétitives sur un maximum de 25 h par semaine: en effet, la performance pouvant alors être double, en raison d'une meilleure adaptation, la même quantité de travail serait produite qu'en 40h.