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MAIS À L'HEURE (qu'il est) par QUOI remplacer la voiture?

3 participants

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Invité


Invité

À L'HEURE qu'il est, la "voiture" n'est plus admissible (voir mesures urgentes)
pourtant il est besoin de quand même disposer d'un moyen de transport individuel efficace.
Le vélo est un bon candidat, mais il reste les inconvénients que ne corrigent pas une bonne forme physique et un bon vélo ordinaire: la vulnérabilité aux intempéries et le confort en dehors des conditions idéales que l'on connait quand l'on fait du vélo sportif.
Or, le vélo utilitaire n'est pas du vélo plaisir, en particulier pour des contraintes de trajet.
Le vélo couché est une expérience intéressante. vous pouvez lire les aventures d'un groupe de personne qui essaie de "vélotaffer" avec (le forum est http://velorizontal.bbfr.net/index.htm )
c'est une chose rare: ce groupe de personne tente réellement de voyager utilitaire.
J'ai imaginé une solution de transition entre voiture et vélo: c'est la fitnesscar, une voiture électrique dans laquelle on fait du "fitness". Ce n'est pas pareil que faire du vélo, c'est complémentaire au vélo: on se sert de la fitnesscar pour rouler quand le vélo ne serait qu'une partie de déplaisir ou peu profitable, et quand vient les beaux jours, on est en forme. On pédale en effet comme on veut et sans avoir à couper l'effort, on peut aussi ne pas pédaler, ce véhicule est hybride électromusculaire, mais j'espère que les premiers partisans de la fitnesscar seront des gens qui voudront se remettre en forme utilitaire.
La fitnesscar est conçue de sorte que avec une forme physique normale, à mi chemin entre athlète de haut niveau et sédentaire (donc à -30% puissance des athlètes en endurance), l'énergie musculaire soit suffisante pour assurer l'autonomie énergétique.
les détracteur de la fitnesscar disent que c'est encore de la technologie, de la complication... mais c'est ça... où la voiture quand il s'avère que la condition physique n'est pas suffisante pour assurer un parcours quotidien parfois athlétique.
Ces engins font pâle figure par rapport aux voitures, ils sont en effet de la performance du vélo.
Par contre, le vélo peut être à 50% de la performance d'une voiture.
Ils ne comblent pas non plus les exigences de la société jugée moderne (on dira "an 2000"), notamment en ce qui concerne l'afretement de marmailles. On ne peut pas encore mener une vie "normale" en effet avec ces petits engins dans un monde "tout voiture", mais dans certaines situations, c'est possible déjà de jouer sur cette alternative et de donner l'exemple.

Il faut aller plus loin pour obtenir une cohérence. La société devrait proposer des transports en commun où on peut monter avec son vélo à la main, ou même des sortes de bus ou de tramway avec une vaste partie sans siège ou on s'y pose comme dans un monte charge, assis dans son tricycle (moindre encombrement qu'un VTT tenu à la main), ou on puisse y entrer avec son âne (un porte bagage affectueux) en laisse.
Il devrait y avoir aussi des services de locations de mini voitures électriques pouvant être fitnesscar.
J'ai imaginé avec beaucoup de précision le système de carte enfichable pour adapter les réglages des fitnesscars de locations à sa forme physique, mais qu'il est loin le temps où l'on considérera que pouvoir pédaler en endurance durant un trajet est du confort bon à prendre! (la possibilité en effet de ne pas tomber malade du syndrôme métabolique quand on voyage beaucoup, de ne pas avoir froid l'hiver...), enfin admettons, qu'au moins ça soit facultatif.
La question des véhicules famillaux reste à résoudre, on voit que économiser l'énergie c'est aussi se rendre indépendant. Les enfants devraient être autonomes, ce qui ne pose pas de problème avec des vélos ou à peine plus gros associé à des transports collectifs et des réa-ménagement de notre manière de vivre... qu'il faudra changer en conséquence, avant que la crise écologique nous la la change d'une façon moins agréable...

comme avant... mais pas tout à fait.
un chiffre sera à rappeler: pour les transports toutes solution sera bonne, pourvu qu'elle n'exige pas plus de 15wh/km pour un véhicule privé.

Invité


Invité


De plus en plus de Suisses vivent délibérément sans voitures.
Le Club des Suisses sans voitures qui existe depuis 2004 vient de publier une étude sur ce passionnant phénomène de société. Un million d’habitants, un ménage sur cinq, ne possède pas d’automobile. Il ne s’agit pas forcément d’un choix. Beaucoup de gens renoncent à un véhicule pour de bêtes raisons financières. Les personnes âgées, les familles monoparentales, les femmes, les jeunes, les bas revenus. Mais selon l’institut lucernois Interface qui a mené l’enquête, la part de ceux qui renoncent à posséder une voiture volontairement augmente. Ils étaient 13% en 1994, ils sont désormais près de 30% des sans-voitures. 300 000 personnes environ qui se déplacent autrement, à pied, à vélo, en train, en transports publics. Ces objecteurs de bagnole sont les élites urbaines qui disposent d’une bonne formation et d’un bon salaire et qui font un choix idéologique. Sans surprise, les sans-voitures sont plus nombreux dans les ville qu’à la campagne. La cité qui leur convient le mieux semble être Bâle, puisque plus de la moitié des ménages n’utilisent pas de quatre roues. Mais Lausanne et Genève, dont le réseau de transports publics n’est pas aussi étoffé qu’en Suisse alémanique, n’échappe pas à la tendance, un tiers des ménages se déclarent sans automobile. Vivre sans auto ne signifie pas que jamais on ne monte dans une voiture. Le choix est idéologique mais pas dogmatique. Ces nouveaux comportements vont de paire avec le succès du car-sharing. En une année, Mobility a réalisé 22% de chiffres d’affaires en plus. Plus de 80000 clients commandent une voiture juste quand ils ont en besoin. La Suisse, qui a inventé dans les années cinquante déjà les dimanches sans voiture, est un pays béni pour les réfractaires à la voiture. Le réseau de transports publics y est en constant développement. Il suffit de se rendre en Italie pour mesurer notre chance. Chaque fois que j’y suis, je reste stupéfaite de la manière dont ce pays s’est rendu totalement dépendant de l’automobile. Vivre sans voiture, ça vous tente? Le site du Club des Suisses sans voitures regorge de conseils. Parce qu’il paraît que c’est aussi deux fois plus économique. Par les temps qui courent, être tendance pour pas cher, c’est cadeau.

Source: http://ctauxe.typepad.com/grace_disgrace/

péré alain



http://www.postpeakliving.com/content/youve-bought-your-last-car

Les gens sont en train d'acheter leur dernière voiture. Nous avons assez fait de bétises à craquer des réservoirs d'essence pour aller au touquet paris plage le week end, pour mériter d'être punis de cette manière...

Le piège est simple à expliquer. La conclusion est alarmante et surréaliste: il n'y aura plus de voitures individuelles, même pas sous la forme d'un véhicule utilisant une énergie alternative.

Le système capitaliste est tout simplement touché à mort et n'a même plus l'inertie nécessaire pour financer la recherche et la production d'un véhicule de type automobile moderne fonctionnant avec de l'énergie alternative...

VOUS AVEZ ACHETE VOTRE DERNIERE VOITURE.

Pour le commun, la hausse du prix du pétrole provoquera l'arrivée providentielle d'une alternative viable qui sauve le système, pour que tout continue comme avant.

Mais ce n'est pas aussi simple que ça:

  • Quand le prix du pétrole est trop bas, personne ne se soucie de quoi que ce soit pour protéger l'avenir, il n'y a pas de raison. Les plus vigilants savent cependant qu'il y a la pollution insupportable et le peak oil.


  • Quand il est trop volatile, qu'il monte pour descendre juste après, les gens ne veulent pas investir leur argent dans un système alternatif et préfèrent garder leur hummer puisque "ça va bientôt baisser après tout".


  • Quand le prix explose, les gens ont tout simplement d'autres chats à fouetter, simplement survivre devient trop difficile pour trop de monde.


Pour faire bien il faudrait que le prix reste un peu au dessus de 60 dollars stable longtemps.

On pourrait faire voter par nos députés une taxation élevée du carburant qui produise artificiellement un prix haut et stable rendant le développement d'une alternative présente à tous les esprits et donc indispensable. Rêvons un peu. L'inverse est plutôt prévisible: nos députés voteront l'abaissement artificiel du prix du carburant à la pompe comme ça s'est passé souvent avec les marins pêcheurs et les routiers...

La nature du marché fait que le prix oscille en permanence. la moyenne annuelle du prix du pétrole augmente régulièrement. Il va y avoir une récession et elle n'est pas provoquée par la crise des subprimes mais plutôt par le peak oil.

Le peak oil mondial a eu lieu en 2008, en 2007 16 millions de voitures ont été vendues aux USA, 8 millions en 2009, faisant passer le délai de renouvellement de la flotte de 15 à 27 ans. Nous entrons dans une crise mondiale qui s'avère être une grande dépression. A ce rythme là, il n'y aura jamais plus de voitures à pétrole, et même jamais plus aucune sorte de voiture du tout... ni électrique, ni à hydrogène, ni à air comprimé. Il n'y a plus assez d'énergie disponible pour le système économique.

Le secteur des énergies renouvelable est mort né à cause du même principe de pétrole pas assez cher. les investissements dans le secteur y ont baissé de moitié à cause de la crise.

Un gouvernement vraiment au faîte du problème aurait pu mettre un prix plancher au pétrole dans les trente dernières années fastes pour nous forcer à prévoir (et financer) une alternative... ça n'a même pas été imaginé.

Maintenant c'est le paradoxe imaginé par Zénon d'élée, Achille et la tortue, celui ci ne parvenant jamais à rattraper son retard...

une spirale de la mort, avec pour issue un monde de pauvres contraints au sport cycliste ou à l'achat de scooters électriques (comme la chine?)

Et on proposera certainement sur le marché américain une petite centaine de millier de voitures électriques capables de rouler sur autoroute... juste avant qu'ils ne deviennent trop pauvres pour les acheter!

péré alain



http://www.businessinsider.com/henry-blodget-time-for-a-gas-tax-starting-in-2012-2009-4

l'idée de la taxation du carburant, intéressante au plus fort de la consommation pour la limiter et forcer l'humanité à promouvoir les autres énergies a fait son chemin.

On pourrait même voir apparaître les "taxes flottantes" sur les carburants vers 2012 le temps que les gens puissent un peu récupérer du choc de la crise.

Bien sûr ça ferait scandale que le litre d'essence soit d'un coup quatre fois plus cher à cause de taxes. Elle entrera en vigueur en douceur, sur plusieurs années. Tant que le prix de l'essence reste en dessous d'un seuil défini comme la limite juste assez inacceptable pour rendre rentables les énergies alternatives, la taxe fonctionne. Au dessus, elle est supprimée et c'est le vrai prix du marché qui s'applique.

Imaginer la chute de popularité d'obama quand il annoncera que le prix du gallon sera bientôt de 5 dollars à la pompe...

On peut imaginer deux fins alternatives à la société de l'automobile:

1. le prix de la matière première va exploser au moindre signal de reprise économique, et empêcher définitivement la production de "nouvelles" voitures

2. pour cause de dépression économique, le prix de la matière première va rester trop bas et empêcher... etc.

péré alain



19 octobre 2003 - 14:23

L'IntelliBike victime de ses atouts
Un engin qui allie force musculaire et puissance électrique high-tech.

Premiers tours de roue pour l’équipe suisse en Australie

Créée en 2001 par l’équipe suisse de «Spirit of Bike», l’e-bike est toujours un petit bijou high tech révolutionnaire.

Mais le marché du vélo électrique s’est effondré en raison du prix trop avantageux de l’essence.

En lançant sa drôle de machine en 2001, «Spirit of Bike» avait tout pour que les bidouilleurs de l’Ecole d’ingénieurs de Bienne deviennent les rois du deux-roues électrique.

Alliant force musculaire et puissance électrique high-tech, leur e-bike offrait tous les atouts modernes d'une mobilité durable, rapide et individuelle.

3025 km à travers l’Australie

Ce qui lui a permis de conquérir la vedette lors du World Solar Challenge d’Australie en novembre 2001.

Les dix cyclistes (hommes et femmes) de Spirit of Bike, qui formaient la seule équipe à vélo de ce redoutable rallye de véhicules solaires, ont fait sensation en traversant le continent australien en… cinq jours et trois heures, à la hussarde et sans panne.

En passant la ligne d’arrivée à Adelaide, les Suisses aux mollets noueux avaient 3025 kilomètres dans les jambes après avoir couru à une vitesse moyenne de 66 km/h, avec des pointes à plus de 100 km/h.

Un rêve qui s'effondre

Et pourtant, après avoir conquis l’Australie, ce bel enthousiasme n’a pas suffit pour conquérir le monde. Au contraire, le projet est retombé comme un soufflé.

«Le marché s’est complètement effondré», regrette August Pfluger, le «père» de l’e-bike. «Et pourtant, l’évolution du marché avait permis tous les espoirs.»

Heiri Schwarzenbach, professeur à la HES de Bienne et responsable technique du projet, récapitule: «La technique de base était au point. Il ne nous restait plus qu’à l’affiner pour pouvoir nous lancer dans la production en série. Le problème, c’est que tant que l’essence reste si bon marché, il n’y a pas de marché.»

C’est du reste pour la même raison que la voiture solaire, héroïne du début des années 90, est aussi en panne. Les ingénieurs ont renoncé à tenter à nouveau seuls l’aventure du World Solar Challenge.
« C'éait un projet extrême, que nous avons pu mener en toute liberté et dans des conditions idéales. »

Heiri Schwarzenbach, responsable technique du projet
Pas de regrets

Mais Heiri Schwarzenbach, n’est pas du genre à s’apitoyer. «C’était un projet extrême, que nous avons pu développer en toute liberté et dans des conditions idéales.»

Mais, l’IntelliBike restera au stade de prototype. Même les amateurs qui étaient prêts à mettre jusqu’à 50'000 francs pour acquérir l’un des cinq engins existants ont été découragés. Impossible de leur fabriquer les indispensables pièces de rechange.

«A chaque projet son histoire»

August Pfluger non plus ne se laisse pas abattre. «Chaque projet a son histoire», résume-t-il. Et de rappeler qu’il lui avait fallu ramer pour réunir le bon million de francs nécessaires pour mener à bien le projet.

Comment, dans ces conditions, trouver les 500'000 francs qu’il en coûterait pour envoyer les champions suisses Thomas Frischknecht et Nicole Brändli tenter le record du monde en Australie?

Mais ses yeux brillent toujours quand il parle de «son bébé»: «Ce projet était géant, parce qu’il réunissait le sport, la technologie et l’environnement. Que rêver de mieux?»

swissinfo, Renat Künzi

Pour la catégorie des véhicules à quatre roues, le règlement de la course impose des contraintes relatives au secteur automobile telles que phares visibles de jour, klaxon, ceinture de sécurité, frein à main, double système de freinage, marche arrière ou encore vision directe et panoramique. Les contraintes sont également sévères en ce qui concerne la sécurité.
La position du conducteur est désormais également imposée; elle correspond à la position standard d’un véhicule d’usage courant (soit un angle d’inclinaison de 27°).

Quelques commentaires:

1. A l'époque de la mise sur pied du projet, le vélo couché n'était pas connu des concepteurs. On imagine une grosse économie aérodynamique et ergonomique sur 3000 km, malgré la transformation du siège en éponge humide sous la fournaise australienne. Fermeture de la parenthèse bicykline.

2. L'éclosion ou non d'un nouveau moyen de transport est elle liée vraiment à un saut plus ou moins brutal dans le niveau de prix de l'essence ou à un saut plus ou moins brutal dans le niveau de conscience de l'humanité? L'automobile est en effet toujours sortie gagnante et renforcée des crises qui l'ont touchée par le passé. On aura droit à un phénomène de nanification (cf la tata nano) un peu comme ces espèces de mammouths nains qui se retrouvèrent contraints et forcés par l'isolement sur une île de sibérie de réduire leur taille de génération en génération mais ça n'a que prolongé leur agonie. En tout cas pour une augmentation du prix de l'essence RV à l'été 2010 et pour une élévation du niveau de conscience RV en 2012 (selon le calendrier mayan).

péré alain



Une voiture coûterait en france 460 euros par mois et 630 euros pour un diesel.

Effet de la hausse du pétrole, les gens roulent un peu moins.

Se tournent un peu (c'est frappant) vers le vélo tout court et parfois le vélo électrique. Surprenant de voir des bonnes femmes qui avancent aussi vite que moi dans les côtes ou contre le vent.

Avant c'était des sportifs tous dopés qu'on croisait sur les routes et maintenant c'est souvent une maman, un papa, un papy, une mamie. On ne peut espérer un adoucissement des moeurs, la violence routière est omniprésente, mais on est sûr d'un effet d'entraînement sur d'autres citadins qui sont de probables candidats à "l'aventure" du deux roues musculaire ou hybride électrique musculaire.

Inspecter le moyeu des roues ou le tube de selle des cadres des vélos de ville qui semblent pilotés par des citadins aux paramètres sanguins suspects afin d'y déceler les composants de l'assistance électrique.

Le bilan écologique de la filière de transport électrique... pensons surtout au flop fort probable de cet effet de mode saisonnier aux premiers frimas de l'automne venus. A la régression du système économique qui repoussera indéfiniment pour les moins favorisés l'achat... d'un simple vélo.

Mais à la fin du compte il y a toujours une voiture de moins sur la route!

péré alain



Pour étayer l'hypothèse selon laquelle vous avez acheté votre dernière voiture, La fiat 500 électrique est annoncée à 40 000 euros.

péré alain



Si on se demande par quoi remplacer la voiture, on finit par croire que ça ou d'autres bricolages amusants est une soluce. https://www.youtube.com/watch?v=1Xp-923G8i4&feature=related

matinale31



Pourquoi ne pas placer une alimentation à découpage forward dans un auto électrique ?
on pourrait soit alors avoir deux fois plus de puissances sans en consommer autant ou bien avoir plus d'autonomie soit plus de kilomètres effectuer, alors que la simple alimentation consomme la puissance donner.

Invité


Invité

on a déjà des rendement de récupération proches de 70%, en hi tech dans les 90%, et les alimentations à découpages sont quasi systématiques, mais ici inutiles puisque le frein alternateur donne déjà la bonne tension et le bon ampérage, convertir encore rajoute de la perte. ce n'est pas la mise en forme du signal électrique qui coince, mais la qualité des composants, et surtout la capacité qu'à la batterie à avaler des puissances importantes lors de la charge comme le ferait un condensateur idéal.

coucou3300



si tu ve dial viens sur http://www.coco.fr je suis la

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