l'oligarchie, c'est ce pouvoir en tout domaine exercé par une poignée de personnes et reposant selon une logique financière, faisant fi de toute notion écologique... les ronds, rien que les ronds...
le 20 février 2009 pourrait bien être le début de la fin... si ça pouvait...
"c'est la fin" (de la confiance en les banques suisses)
à 19h51 après une 21 minutes de journal télévisé, vue du graphique, chez des suisses alors tous chamboulés, montrant une chute records de l'action UBS, tombée au plus bas historique, près de 10 francs, le seuil où l'on juge que l'UBS risque la mort (la faillite de la suisse), et "le contribuable suisse y a mis des milliards".
"tout le monde va prendre la suisse comme bouc émissaire".
aïe aïe aïe!!!
http://media.tsr.ch/xobix_media/tsr/tj/2009/tj_02202009-702k.mp4?start=00:00:00.000&end=00:30:00.000
Alors ça, ça fait donc plus "peur" (sensation d'abattement) qu'une crainte de guerre nucléaire?
Cette dernière n'est en effet qu'une hypothèse plutôt improbable.. Mais par contre le fait accompli de la brèche dans "le porte monnaie"...
- Ça fait un choc, ce genre d'info était un poisson d'avril il y a quelques années.
- Des suisses, pleins de suisses proches, ont du avoir peur d'être privés de leur seule ressources... ils ont émit de fortes ondes mentale facile à capter.
- l'info a été brutale, d'un fait accompli... elle est réelle et preignante.
le ressentit du 20 février est donc bien corrélé à la vue de la cette chaîne de télévision pour les suisses.
La brèche dans les secrets bancaires a remué la conscience profondément. Mais finalement, il n'y a pas qu'un problème de ronds, mais un problème moral!
Car on ne peut plus se le cacher, l'argent stocké en suisse n'est pas très "propre", et c'est bien pour cela que il y a eu des demandes de levées de secret bancaire. La suisse, "propre", amoureuse de la qualité, riche grâce à ses banques tire une grande partie de ses ressources du placement d'argent provenant des pires bandits de la planète.
Cette date marque une brèche non pas seulement du secret bancaire, mais des grands principes de fonctionnement de l'oligarchie, ce pouvoir par l'argent qui fait fi des lois, des états, de la morale et de l'écologie, qui est exercé par quelques milliers de personnes seulement, guère plus que quelques dizaines de milliers.
le 20 février 2009 pourrait bien être le début de la fin... si ça pouvait...
"c'est la fin" (de la confiance en les banques suisses)
à 19h51 après une 21 minutes de journal télévisé, vue du graphique, chez des suisses alors tous chamboulés, montrant une chute records de l'action UBS, tombée au plus bas historique, près de 10 francs, le seuil où l'on juge que l'UBS risque la mort (la faillite de la suisse), et "le contribuable suisse y a mis des milliards".
"tout le monde va prendre la suisse comme bouc émissaire".
aïe aïe aïe!!!
http://media.tsr.ch/xobix_media/tsr/tj/2009/tj_02202009-702k.mp4?start=00:00:00.000&end=00:30:00.000
Alors ça, ça fait donc plus "peur" (sensation d'abattement) qu'une crainte de guerre nucléaire?
Cette dernière n'est en effet qu'une hypothèse plutôt improbable.. Mais par contre le fait accompli de la brèche dans "le porte monnaie"...
- Ça fait un choc, ce genre d'info était un poisson d'avril il y a quelques années.
- Des suisses, pleins de suisses proches, ont du avoir peur d'être privés de leur seule ressources... ils ont émit de fortes ondes mentale facile à capter.
- l'info a été brutale, d'un fait accompli... elle est réelle et preignante.
le ressentit du 20 février est donc bien corrélé à la vue de la cette chaîne de télévision pour les suisses.
La brèche dans les secrets bancaires a remué la conscience profondément. Mais finalement, il n'y a pas qu'un problème de ronds, mais un problème moral!
Car on ne peut plus se le cacher, l'argent stocké en suisse n'est pas très "propre", et c'est bien pour cela que il y a eu des demandes de levées de secret bancaire. La suisse, "propre", amoureuse de la qualité, riche grâce à ses banques tire une grande partie de ses ressources du placement d'argent provenant des pires bandits de la planète.
Cette date marque une brèche non pas seulement du secret bancaire, mais des grands principes de fonctionnement de l'oligarchie, ce pouvoir par l'argent qui fait fi des lois, des états, de la morale et de l'écologie, qui est exercé par quelques milliers de personnes seulement, guère plus que quelques dizaines de milliers.